30.6.10

I love fig (ou Le fig power).

Dimanche: figues du jardin (pas du mien, j'en ai pas)...
Lundi: figues du marché pour le goûter.
Mardi: petit-déjeuner aux figues.
Mercredi: tarte aux figues au resto.
Et ce n'est que le début, je vous le dis...


Sunday: figs from the garden (not mine, I don't have one) ...
Monday: figs market for tea.
Tuesday: Breakfast with figs.
Wednesday: fig tart at the restaurant.
And this is just the beginning ...

28.6.10

Qui suis-je ?

Who am I ?
...


C'est dur, hein ?
Vous ne trouvez pas ?
Allez, un autre indice:


Difficult ?
No idea ?
Ok, here 's another clue:


























Bah, un facile:
Ok, an easy one:


Surprise !!!

Ca vous a plus ?
Vous en voulez encore  ?

J'en profite aussi pour vous remercier de tous vos commentaires, vous n'imaginez à quel point ça fait plaisir...!-)

Thanks a lot for your comments, it makes me very happy (and sorry for my english).

27.6.10

Is it clear ?



























J'ai enfin un nouvel appareil photo, celui tant rêvé...
Et depuis, je n'aime faire que les photos floues.

24.6.10

My girl.





















































7 ans.
Vernis sur les ongles.
Ma nuisette.
Internet, it's fingers in the noise.




23.6.10

Saburo Teshigawara

photo: Emmanuel Valette

Un coup de coeur. Non, un choc de coeur. 
Hier soir, à l'occasion du Festival de Marseille, j'ai vu un spectacle de danse de Saburo Teshigawara, Obsession.
Je ne suis pas hyper calée en matière de danse contemporaine et je ne connaissais pas ce chorégraphe. J'ai été littéralement hypnotisée. Quand la puissance est là, elle transcende tout.
Un duo.
Un décor épuré et symétrique.
Quelques chaises, une table.
Des ampoules qui descendent très bas du plafond.
Une violoniste.

Je ne me lancerais pas dans une analyse détaillée de la pièce mais j'ai été surprise, touchée, foudroyée. 
Par la danseuse.
Par le danseur.
Je dirai que c'est une performance physique inouïe dont on ne sent pas la difficulté - mais pas que-, avec surtout une sensibilité extrême.  

J'étais au deuxième rang, et on n'entendait pas le glissement de leur pas, ni leur respiration. C'est anecdotique, mais ça m'a marqué. 
J'ai envie de dire qu'il y avait dans cette pièce, les sens et le sens. La  sensibilité du coeur, la fragilité de l'âme, la force du corps. Sans prétention, avec justesse et sincérité. 
Mais d'une p***** de force.
Des corps en mouvement, sans interruption, des corps qui ne sont pas blasés de danser, généreux, libres, passionnés... (et ce qu'ils font avec leur corps est au delà de toute imagination).


Mon premier choc en matière de danse contemporaine avait été Kim Itoh. Un japonais, déjà.  Japon, déjà, toujours et encore.

20.6.10

Song.


If I was a songwriter, i would write sad song... about love.
Fortunately for you, I am not.

18.6.10

Promess.

Maybe I should lie. 
Like everybody else.
I'll try, I promess.

15.6.10

Upside down #3






























Je certifie qu'aucune couleur sur cette photo n'a été retouchée. Elle date du mois d'avril. Maintenant que nous sommes en juin, c'est le déluge. 
Tout va bien sur la planète.

Grâce à Lôlà, je me suis souvenu que j'avais le stock de linge de mon voisin à écouler.
D'ailleurs, Monsieur voisin du dessus ne varie pas suffisamment ses étendages, ça ne m'arrange pas (mais je crois bien avoir un slip dans mon stock !-)... 

14.6.10

Strangers in the night.


or Lonelyness in the night. 

2.6.10

Non mais OH...

Samedi dernier, ballade à travers Champ harmonique, une marche symphonique pour 500 instruments éoliens.
Le lieu était un peu étrange mais certaines personnes semblent apprécier.

Une centrale EDF au bord de la mer. Et la loi du littoral, elle ne s'applique pas cette fois ? Non ? On rase un petit café marseillais qui ne fait de mal à personne (et faisait plaisir à beaucoup) mais là...
Ceci dit, visuellement parlant...